A trente ans, mariée, deux enfants, Aurore quitte sa province et gagne Paris avec Jules Sandeau…Elle devient journaliste, puis romancière, rencontre un poète de vingt-deux ans déjà célèbre, Alfred de Musset, part avec lui pour Venise… Rupture et retour en Berry. Elle réussit à se débarrasser de son mari, M. Dupin, et fait venir un pianiste célèbre, Frédéric Chopin. Avec des amis, elle prépare la révolution. Celle de 1848. Mais le voyage à Paris est court. Le pianiste est parti, alors Aurore le remplace par le peintre Manceau et continue d’écrire des romans. Aurore, c’est bien sûr, George Sand.
“Avec George Sand, Michèle Rosier ne prend pas de gants. C’est un film au présent où tous les filets sont tendus à notre hauteur, il n’est plus question de respect, mais de curiosité.Cette George Sand est l’arrière-grand-mère de nos militantes féministes et leur ressemble comme une soeur. Je crois que c’est la meilleure façon d’aborder une biographie : imaginer que celle qu’on fait revivre est de la même trempe que nous, a les mêmes problèmes, les mêmes bonheurs, les mêmes amours. La George Sand de Michèle Rosier, nous la rencontrons tous les jours, d’où le charme d’un film qui prend le parti de l’irrespect, c’est dire de la liberté…” Pierre Marcabru
” C’est le premier film, non sur l’histoire de George Sand et du romantisme mais sur l’esprit romantique : effréné désir de provocation contestataire portée dans les idées, dans les moeurs, dans l’art, dans la politique. Entre l’encrier et les pots de confiture, entre draps et papier, Sand prêche la libération de la femme, ose vivre pleinement sa vie sexuelle, s’engage dans le militantisme révolutionnaire. George Sand est notre corrosive contemporaine. Film excitant, tonique, romantique… c’est très gai.” Jean-Louis Bory
George qui ? 1973
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